jeudi 22 avril 2010

Le blues du policeman

Dans mon cabinet j'ai entendu  le blues du vigile, celui de l'agent du trésor public, celui du facteur, celui du banquier et surtout celui du policier qui m'a interpellé ( le blues, pas le policier).
Quand je lui ai parlé du voile intégral il m'a répondu qu'il y avait autre chose à faire pour maintenir l'ordre public que de courir après 150 femmes voilées ( et parfois de souche française, et toutes sexy sous leur burka!).
 Depuis quelques temps ( depuis le lamentable incident du transformateur avec les deux jeunes qui ont grillé en voulant échapper aux policiers) les policiers n'ont plus le droit de courir après les voleurs... sauf si toutes les précautions sont prises pour qu'il ne leur arrive pas le moindre mal, autrement dit: plus jamais!
Il en a marre de faire le mariole aux feux rouges et à surveiller au radar pour faire des PV et renflouer les caisses de l'états alors que les banlieues auraient tellement besoin d'un peu d'ordre. Mais les ordres sont les ordres.
Et la cerise du le gâteau est qu'il a un devoir de réserve, alors je relaie ses doléances.
...
Si l'on veut prendre la température de la société je propose d'écouter RMC info Jean-Jacques Bourdin, le matin et on entendra des tas d'histoires de ce genre.

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