lundi 14 juin 2010

Méphédrone

 Classement comme stupéfiant de la méphédrone, dérivée du khat



(AFP) – Il y a 3 jours
 La méphédrone, un produit de synthèse dérivé de la substance active des feuilles de khat que l'on mâche particulièrement en Afrique pour ses effets stimulants, a été classée comme stupéfiant par le ministère de la Santé.

Selon un communiqué de la Direction générale de la Santé (DGS), le classement intervient "en raison des effets psychoactifs et du potentiel d'abus, de dépendance et de la toxicité de cette substance", et sur proposition de l?Agence sanitaire des produits de santé (Afssaps).

La méphédrone est dérivée de la cathinone, principale substance active des feuilles de khat et proche de l'amphétamine. Selon la DGS, elle semble circuler aujourd?hui dans toute l?Europe, sous des surnoms divers.

En France, elle a été identifiée pour la première fois fin 2009, par l'Observatoire français des drogues et toxicomanies, selon la DGS. Les centres d'information sur la pharmacodépendance et l'addictovigilance ont reçu début 2010 les premiers signalements d'effets liés à sa consommation.

La méphédrone est consommée notamment pour ses effets stimulants et entactogènes, c'est-à-dire qui facilitent le contact. La prise de méphédrone est généralement suivie d'une phase de "descente" avec éventuellement crises d'angoisse, nausées, hallucinations, selon la DGS. Un cas de décès a été décrit en Suède en 2008, et son implication est suspectée dans plusieurs cas de décès en Grande-Bretagne.
La méphédrone est déjà classée comme stupéfiant dans plusieurs pays européens, rappelle la DGS.


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On voulait utiliser la Méphédrone pour décrocher de la cocaïne!

Maintenant ce que j'avais écrit dans mon précédent blog:

On a inventé le médicament, le Subuxone qui remplacera le subutex. Le subuxone devrait dégouter les toxicos car en s'injectant il parait qu'il procure des effets secondaires peu agréables.


 L'héroïne avait été inventée au départ pour contrer les effets secondaires de la morphine (qui était donnée pour les grosses douleurs, seulement certaines personnes y prenaient goût), puis on a commercialisé la méthadone pour sevrer de l'héroïne, seulement elle possède l'effet secondaire qu'il faut plus d'un moins pour se sevrer de cette dernière. Et ensuite le subutex a été présenté comme le traitement qui sauvera les drogués-camés-toxicomanes-usagers-héroïnomanes-morphinomanes du deal, de la rue, de la désocialisation. Mais on s'est rendu compte que celui-ci était détourné de son but initial et qu'il y avait une part non négligeable revendue dans la rue (on l'utilise en le pilant et en se l'injectant ou en le sniffant). Et on le savait dés sa commercialisation!  Mais on l'a remboursé quand même.
Quand les toxicos n'ont plus d'argent ils vont donc chez le médecin, balancent des arguments genre "c'est médical, il me faut mon subutex", "vous devez me le donner".


Par ailleurs on prescrit de la ritaline ( dérivé d'amphétamine) aux cocaïnomanes en Suisse pour pallier à leur syndrôme de manque .

Et la conclusion de tout ceci: arrêtons avec la chimie, on ne s'en portera que mieux!

1 commentaire:

  1. La chimie donne seulement l'illusion que tout va bien, mais ne traite pas le fond du "problème".

    Il faudrait surtout apprendre aux gens comment être en bonne santé, et leur expliquer comment être satisfait dans leur existence.

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