vendredi 20 septembre 2013

En lisant le Dalloz " Droit du dommage corporel" p 654 , je suis tombée sur une petite phrase : " Au dix-neuvième  siècle, le discours médical évoquait volontiers la responsabilité morale du médecin devant sa conscience, mais révoquait sa responsabilité civile à l'égard de la victime". Pour faire simple: " du moment que je me sens en paix avec moi-même, c'est bien dommage que le patient soit mort mais ce n'est pas ma faute, c'est la médecine". Pratique

Le point de vue a légèrement changé suite aux progrès de la médecine.  Et cette énorme responsabilité qui pèse sur les médecins peut jouer dans la constitution du burn out. 

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