mardi 14 octobre 2014

des nouvelles de l'AAAVAM

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Les médecins ont le blues
Les médecins sont sous addiction des « tranquillisants et des somnifères », ce constat dramatique est publié dans la presse aujourd’hui, avec une interview du Docteur Max André Doppia du CHU de Caen. D’après les rares études sur ce sujet, il faut en déduire que les suicides et les homicides (affaire Dr Bécaud en Vendée sous Valium) qui se produisent dans le corps médical sont proportionnels à l’utilisation comme « psychostimulants » hors A.M.M., de ces anxiolytiques bon marché.
L’AAAVAM  avait en l’an 2000 fait modifier le R.C.P. (dictionnaire Vidal) il avait été ajouté « PEUT FAVORISER UN PASSAGE À L’ACTE SUICIDAIRE », les laboratoires pharmaceutiques avaient omis de le faire savoir à l’Agence française du médicament !
Malgré cet avertissement et nos alertes depuis bientôt un quart de siècle, aucun des Ministres de la Santé informés directement par le Président de l’AAAVAM Georges Alexandre Imbert, ou par des articles de presse et des émissions de radios et de télévisons, n’ont pris de mesure de prévention.
Si les médecins se suicident deux fois plus que dans la population en général, comment ne pas faire le rapprochement avec ces pilules ! Les Directeurs de l’Agence de sécurité du Médicaments (Afssaps, ANSM) nous ont tous reçus, la HAS aussi. Mais  à l’exception du Pr Maraninchi, qui a eu le courage de démissionner, tous sont restés dans un devoir de réserve criminel bien rétribué, aucune enquête sérieuse n’a été rendue publique ou communiquée à l’AAAVAM, malgré les instructions des Autorités Ministérielles et Présidentielles.
Nous avons rencontré au Ministère de la Santé, il y a quelques années le tout nouveau Directeur Général de l’ANSM Dominique Martin (psychiatre et énarque), il est bien informé de ces effroyables problèmes qui occasionnent chaque année en France près de 14000 suicides réussis par divers moyens d’autolyses, mais aussi un grand nombre d’handicapés lors de T.S. (tentatives de suicides). Pour mémoire, un handicapé peut coûter à notre Sécurité Sociale près de 9 millions d’euros (Cour des comptes), prendra-t-il des mesures pour faire cesser cette hécatombe ?
Les « tranquillisants et les somnifères » de la classe des benzodiazépines et apparentés comme le Stilnox, favorisent les actes de violence contre soi même et autrui, les accidents du travail et de la circulation, ainsi que les chutes chez les personnes âgées, les troubles du comportement (sexuels et financiers), et depuis peu des études tentent à prouver que ces drogues légales favorisent la maladie d’Alzheimer.
Études et publications : « Le Prix du bien être » par Édouard Zarifian aux Editions Odile Jacob, « Crimes sous tranquillisants » par Georges Alexandre Imbert aux éditions du Dauphin. « Les français camés aux benzodiazépines » Science & Vie (1989).

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