dimanche 13 octobre 2013

Le dangereux succès des somnifères


Mis à jour le 11.10.13 

Selon la Caisse d'assurance-maladie du Languedoc-Roussillon, les habitants de la région consomment trop de benzodiazépines. Sur 2 721 médecins, plus de 90 % prescrivent des médicaments anti-anxiété ou des somnifères à plus de vingt de leurs patients. Les Languedociens utiliseraient jusqu'à dix fois plus de boîtes que les Franciliens, ou trois fois plus que les Bretons. « C'est difficile de l'expliquer, note Dominique Chollet, la directrice du service médical régional. La région n'est pas riche, les personnes sont en difficultés sociales. » Pour prévenir des risques liés aux benzodiazépines, l'assurance-maladie lance une campagne auprès des médecins et des patients. La surconsommation peut entraîner des troubles du comportement et de mémoire, et des dérèglements du système nerveux. N. B.
Donc difficultés sociales rimeraient avec absorption de benzodiazépines? D'où c'est qu'on est parti chercher le fait que les benzodiazépines aideraient pour résoudre les difficultés familiales et pour trouver un travail? Le type sous stilnox n'a pas forcément les idées bien claires le matin pour démarrer, la femme sous Témesta a plus de mal à se défendre quand le mari lui pête la tête contre l'évier, mais c'est remboursé au contraire de l'alcool, ce qui induit que l'état trouve que c'est thérapeutique, vu que c'est remboursé. Compris?
Aujourd'hui j'ai voulu parler bien la France, désolée pour les écarts de langage. Mais la coupe est pleine et qu'on arrête, ou de rembourser les benzos, ou qu'on rembourse l'alcool, puisque ce dernier provoque une détente appréciable. Mon compagnon fera oui-oui de la tête, car le rhum c'est sacré, deux fois par semaine :)... et en plus ça a meilleur goût que les cachetons.

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