Il y a trois jours mon compagnon m'avait fait remarquer que j'avais été un peu raide avec un ami: je lui racontais que mon MiniRambo buvait 800 ml de lait par jour, mais du bio.
Et il s'est lancé dans un grand monologue sur : " le lait n'est pas bon, c'est adapté aux veaux mais pas aux enfants. D'ailleurs les veaux grossissent de 4 fois leur poids en quelques mois, ce qui n'est pas souhaitable pour les bébés".
Ce à quoi j'ai répondu en me levant et en me tournant vers mon compagnon: " on s'en va mon chéri?" pratiquement sans me rendre compte que mon attitude avait été un poil grossière.
Pourtant je connais son argumentaire, je ne suis pas contre et j'arrête le lait de vache à tous les enfants (ou les adultes) dés que je soupçonne une intolérance. Mais quand les gens vont bien, ils pourraient manger des cailloux assaisonnés de mazout que je m'en ficherais royalement.
Car le but, est-ce de bien se nourrir ou cela est-il d'être en bonne santé? Donc les Ayatollah du bien manger, passez votre chemin; si mon fils veut manger des frites pourquoi pas? On ne devrait remettre de la pression qu'en cas de mauvaise santé. Car comme mon père se plaisait à le répéter " le mieux est l'ennemi du bien".
Et la pauvre maman qui me demandait systématiquement des conseils sur les quantités à donner à son bébé, je répondais " quand vous avez faim vous allez au frigo, c'est pareil pour votre bébé. Il doit manger de façon à être rassasié". Malgré son air un peu choqué elle continue à me consulter. Tant mieux!
Mouais, je suis moyennement d'accord avec vous. Les intolérances peuvent aussi se déclencher avec des surdoses prolongées.
RépondreSupprimerEt puis, vous le savez bien, on est ce que l'on mange.
Mais on ne vit plus quand on prend soin de son assiette à longueur de journée. J'ai vécu moi-même dans le Weight Watchers toute mon enfance que ma mère nous imposait et c'était assez éprouvant.
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