Je suis toujours en pétard contre le médecin de la Sécu: un de mes patients mentionné il y a quelques temps a été contrôlé: il avait eu une vilaine entorse de genou au ski et n'avait dû son salut, c'est à dire pas de fracture, qu'à une musculature exceptionnelle ( grand sportif).
Donc le-dit médecin l'a pris dans son bureau, s'est contenté de mesurer les deux mollets, et comme ils étaient de même grosseur et sans s'énquérir du genre de travail du patient, lui a déclaré : " je vous fais reprendre au 4 septembre". Ca fait quatre mois que mon patient fait des séances de rééducation intensive, comme il dit " ce n'est pas de la gnognote, j'en ressors tout endolori".
Seulement le médecin du travail ne le veut pas sur les chantiers avant qu'il ne soit complètement guéri avec scanner et IRM à l'appui: " on va éviter le sur-accident".
Alors le patient vient voir le docteur Vincent: je l'éxamine, trouve que le genou souffrant a du mal à se mobiliser et est encore douloureux. Et sur les chantiers cela peut faire la différence.
Que faire: j'ai conseillé de contester, de demander l'avis d'un expert mandaté par la Sécu pour trancher: que de perte de temps et d'argent pour une décision prise hâtivement!
J'ai lu les propositions des 24 bloggueurs médecins: je proposerais moi qu'au sein de leur Must il puisse y a voir des échanges avec des médecins de la Sécu, non pour se faire taper sur les doigts mais pour régler des problèmes en quelques minutes au lieu de quelques semaines. On ne devrait pas se considérer en guerre mais comme des rouages différents appartenant à la même machine de santé.
C'était ma contribution!
Donc le-dit médecin l'a pris dans son bureau, s'est contenté de mesurer les deux mollets, et comme ils étaient de même grosseur et sans s'énquérir du genre de travail du patient, lui a déclaré : " je vous fais reprendre au 4 septembre". Ca fait quatre mois que mon patient fait des séances de rééducation intensive, comme il dit " ce n'est pas de la gnognote, j'en ressors tout endolori".
Seulement le médecin du travail ne le veut pas sur les chantiers avant qu'il ne soit complètement guéri avec scanner et IRM à l'appui: " on va éviter le sur-accident".
Alors le patient vient voir le docteur Vincent: je l'éxamine, trouve que le genou souffrant a du mal à se mobiliser et est encore douloureux. Et sur les chantiers cela peut faire la différence.
Que faire: j'ai conseillé de contester, de demander l'avis d'un expert mandaté par la Sécu pour trancher: que de perte de temps et d'argent pour une décision prise hâtivement!
J'ai lu les propositions des 24 bloggueurs médecins: je proposerais moi qu'au sein de leur Must il puisse y a voir des échanges avec des médecins de la Sécu, non pour se faire taper sur les doigts mais pour régler des problèmes en quelques minutes au lieu de quelques semaines. On ne devrait pas se considérer en guerre mais comme des rouages différents appartenant à la même machine de santé.
C'était ma contribution!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire