Je me sens bien dans mes baskets de médecin en général, le cabinet roule, plutôt bien huilé, quoique avec des délais d'attente de 45 mn.
Il y a quelques jours une consoeur m'appelle: " Dis, j'ai vu un de tes patients et ne lui ai pas donné d'arrêt de travail pour sa pathologie. je lui ai assuré que ce n'était pas grave et il a fini en réa durant une semaine. Tu crois qu'ils sont procéduriers?" La crainte d'un procès de plus en plus courant. Alors je l'ai assurée de mon soutien.
Et il y a trois jours une patiente vient: " docteur, mon beau-père s'est retrouvé à l'hôpital avec un de vos cachets contre le diabète. Ca fait deux erreurs, il en a vraiment marre. Moi je ne change pas de médecin". Ce qui s'est passé: ce patient a souffert d'une bronchite asthmatiforme aiguë pour laquelle j'ai eu l'excellente idée de prescrire de la cortisone. Trois jours après il développe un diabète! Ce n'est pas une blague. Alors, suivant les recommandations de nos sociétés savantes, je lui prescris du Glugophage. Et je ne sais pas ce qui s'est passé, mais ça s'est mal passé.
Alors je me sens la conscience tranquille car j'ai prescrit tout comme il fallait, mais aurais-je pu éviter la cortisone, aurais-je dû prescrire un autre anti-diabétique? Comment savoir? Je ne suis pas Dieu le père.
Et évidemment les internes de l'hôpital ne se sont pas privés pour fustiger ce sale généraliste de province qui n'a pas su éviter les problèmes. Elle est belle la confraternité! On m'avait prévenu en cours: il existe plutôt de l'anti-confraternité et ça fait le lit des procès.
S'il vous plait, les internes qui me lisez, ne tapez pas sur les vieux, un jours on vous tapera dessus à votre tour et ça ne sera pas forcément votre fête.
Au fait, qui veut encore devenir généraliste installé?
Alors, lors du dernier séjouor hospitalier d'un de mes proches. le médecin inetren en cardio /une femme conne comme je ne l'ai plus vu depuis kongtemps, refsuanst toute communication avec la famille du patient, n'a examiner le patient à peine et surtout pas ses pieds mais dans sa lettre de sorti pour le MG traitant, elle inscrit que l'avis d'un chirugien est nécessaire) et ôte 2 médicaments . L'un je l'ai su, suite à mon incitation de la voir (où elel me recevait avec l'amabilité de croque mitain) su pour le premier et la raison, le second nous avon eu la surpise en sortant. Vendredi aprés-midi et le cabinet du MG du vendredi midie au lundi matin est fermé - sauf que ce fut un médicament fort pour la tension et même le MG ne comprennait pas son retrait. Vu que la tension monta, remis et lors du suivant séjour cette ineterne voulait à nouveau oter ce médicamnet. Sauf que cette fois, nous avons ignorez ses recommandation et sa lettre de sortie fur sujet de rigolade aussi bien pour nous que pour le MG. Car le contenu ne correspondait à absolument rien de ce que le médecin chef a fait.
RépondreSupprimerVoilà, les médecins hospitalier sont souvent plus dans l'erreur que leur homologues liberaux, sauf vu le nombre, peuvent mieux camoufler ces fautes.
Pour ma part, je respecte bien plus le MG libéral qu'un médecin hospitalier.
Bonne journée