...de précédentes recherches ont montré que la psychothérapie et les somnifères présentent une efficacité similaire en termes d’allongement de la durée du sommeil et de raccourcissement du temps d’endormissement. Sachant cependant que l’usage de ces médicaments, on pense surtout aux benzodiazépines, s’accompagne de risques notables d’effets secondaires et d’accoutumance.
Les spécialistes canadiens ont davantage creusé le sujet, en évaluant le rapport coût-bénéfice de ces deux approches, et en considérant en particulier les dangers de chute chez les aînés. Il s’avère que ceux qui consomment des benzodiazépines pour traiter une insomnie chronique s’exposent à un risque de chute 57% plus élevé par rapport à ceux qui n’en prennent pas. Et qui dit chute pense fracture, hospitalisation, intervention chirurgicale, perte d'autonomie, invalidité, voire mortalité.
http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=15894
Que la Secu serait heureuse avec toutes ces economies: pensez a elle, et souvenez-vous que la Secu c`est vous et moi, et qu`on paie pour toutes ces betises.
Les spécialistes canadiens ont davantage creusé le sujet, en évaluant le rapport coût-bénéfice de ces deux approches, et en considérant en particulier les dangers de chute chez les aînés. Il s’avère que ceux qui consomment des benzodiazépines pour traiter une insomnie chronique s’exposent à un risque de chute 57% plus élevé par rapport à ceux qui n’en prennent pas. Et qui dit chute pense fracture, hospitalisation, intervention chirurgicale, perte d'autonomie, invalidité, voire mortalité.
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