Je me suis plongée dans un livre éminemment passionnant: Le droit du dommage corporel chez Dalloz! Traduction: la loi au service des victimes.
Et j'ai été surprise que la loi sépare le corps et l'esprit, et que le droit des victimes ne peut se dissocier de cette notion! Car si l'on oublie la dimension spirituelle, ontologique, on peut alors y aller dans les expérimentations dégradantes dont le 20è siècle est assez richement doté.
Mais avant de me plonger dans les délices évidents du droit, La trilogie des Fourmis de Werber m'a occupé utilement la fin des vacances. On se dit au début: quoi? 1400 pages sur les fourmis! Au bout de deux pages je ferme.
Mais non, que du bonheur, avec surtout " la pierre de Rosette", instrument qui permet une communication fourmis-humain. Que du bonheur!
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