Toujours en formation continue, je suis tombée sur un professeur expert à l'ONIAM. Qu'est-ce que c'est?
C'est l'office national d'indemnisation des accidents médicaux. C'est vers quoi les victimes se tournent quand en fait elles sont victimes d'un aléa thérapeutique,
http://www.association-aide-victimes.fr/
Les effets secondaires du médiator ont été classé donc dans l'aléa thérapeutique (?). Et les plus de 8000 malheureuses victimes ont pour la plupart été déboutées de leur plaintes (absence de critères de gravité, pas de preuves tangibles car les ordonnannces ont été perdues etc.) Et celles qui ont été prises en considération ont gagné en moyenne 3500 euros en tout et pour tout pour toutes leurs souffrances et leur coeur défaillant. Alors j'ai demandé à ce professeur " Comment faut-il faire pour que les victimes soient enfin reconnues?". ll m'a répondu " il n'y a pas 36 mille solutions. La seule chose qui a marché est de faire du foin, des manifestations, des lobbies et un type genre Freddy Mercury comme figure de proue. Les séropositifs sont enfin reconnus. Alors que pour l'hépatite C il n'y a pas eu assez de foin et les victimes sont peu indemnisées. J'ai déjà tenté de "me faire" un labo et ils sont indéboulonnables sinon". Il ne faut pas attaquer les labos tout seul de front, c'est de la folie furieuse. Une s'est fait correctement indemnisée de son Isoméride ( Anna Paulos), mais combien ont lâché l'affaire par dégoût, fatigue ou autre?
Vous voyez où je veux en venir? Si ça vous intéresse de faire valoir vos droits, l'union faisant la force, j'ai bien une petite idée qui ne devrait pas déplaire à certains.
Ecrivez-moi au davidvincent6@gmail.fr
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